Cent drames, sans larmes
Sans pleurer, sans crier.
Voilà comment ça c'est fini.
Une discussion, un message, et hop c'était fini.
C'est marrant la vie, même si on espère toujours que ça va s'arranger, y'a des moments où en fait vaut ptête mieux que ça s'arrange pas et que ça se termine d'un coup. Un grand coup. C'est comme ça que ça fait probablement le moins mal (l'avenir nous le dira).
Je n'ai même pas pleurer. J'pensais que ca allait être plus dur, en fait quand c'est nous qui prenons la décision, elle est bizarrement plus simple à accepter. Même si ça fait quand même un peu mal de s'assoier sur 10 ans de sa vie comme ça. 10 ans c'est lourd, ça fait un peu mal au cul quand on s'assoit dessus et finalement on s'habitue.
Une page s'est tournée. Un peu comme tirer un trait sur le passé en se disant que de toutes façons il est passé et qu'on ne fera pas machine arrière.
T'as eu ce que t'as voulu mais t'as pas toujours voulu ce que t'as eu. Quand certains pour s'amuser, mettent volontairement en colère certains de leurs amis (peut-on vraiment dire amis dans ce cas là, je ne suis pas sûr !), d'autres s'inquiètent en silence dans leur coin. Le monde tourne toujours aussi rond, c'est pas cette révolution qui va en changer la face.
Une fois de plus un article probablement sans grand intérêt pour la majorité des personnes, mais pour moi il est d'une importance capitale, il marque le début d'une nouvelle ère, fini le Téquitoi d'avant gentil et cherchant à être aimé. Maintenant on va passer au Téquitoi vivant pour sa gueule et tant pis pour les autres. Ce matin un ami cherchait à se rendre pas trop loin, le Téqui d'avant lui aurait proposer de l'emmener, le nouveau Téqui a vu le message et est passé à autre chose, et n'en a rien à branler. Probablement que l'ancien s'en serait voulu de pas l'aider. C'est comme ça, la vie nous forge, on peut se tendre ou se détendre plus ou moins en fonction de son caractère mais les évènements finira toujours par nous plier plus ou moins.
Voila,
C'est une nouvelle ère, révolutionnaire, y'aura des jardins (...) des chansons, du vin, on manquera de rien.
Voilà comment ça c'est fini.
Une discussion, un message, et hop c'était fini.
C'est marrant la vie, même si on espère toujours que ça va s'arranger, y'a des moments où en fait vaut ptête mieux que ça s'arrange pas et que ça se termine d'un coup. Un grand coup. C'est comme ça que ça fait probablement le moins mal (l'avenir nous le dira).
Je n'ai même pas pleurer. J'pensais que ca allait être plus dur, en fait quand c'est nous qui prenons la décision, elle est bizarrement plus simple à accepter. Même si ça fait quand même un peu mal de s'assoier sur 10 ans de sa vie comme ça. 10 ans c'est lourd, ça fait un peu mal au cul quand on s'assoit dessus et finalement on s'habitue.
Une page s'est tournée. Un peu comme tirer un trait sur le passé en se disant que de toutes façons il est passé et qu'on ne fera pas machine arrière.
T'as eu ce que t'as voulu mais t'as pas toujours voulu ce que t'as eu. Quand certains pour s'amuser, mettent volontairement en colère certains de leurs amis (peut-on vraiment dire amis dans ce cas là, je ne suis pas sûr !), d'autres s'inquiètent en silence dans leur coin. Le monde tourne toujours aussi rond, c'est pas cette révolution qui va en changer la face.
Une fois de plus un article probablement sans grand intérêt pour la majorité des personnes, mais pour moi il est d'une importance capitale, il marque le début d'une nouvelle ère, fini le Téquitoi d'avant gentil et cherchant à être aimé. Maintenant on va passer au Téquitoi vivant pour sa gueule et tant pis pour les autres. Ce matin un ami cherchait à se rendre pas trop loin, le Téqui d'avant lui aurait proposer de l'emmener, le nouveau Téqui a vu le message et est passé à autre chose, et n'en a rien à branler. Probablement que l'ancien s'en serait voulu de pas l'aider. C'est comme ça, la vie nous forge, on peut se tendre ou se détendre plus ou moins en fonction de son caractère mais les évènements finira toujours par nous plier plus ou moins.
Voila,
C'est une nouvelle ère, révolutionnaire, y'aura des jardins (...) des chansons, du vin, on manquera de rien.