Rimes et compagnie

Publié le par Téquitoi

Salut,

Depuis quelques jours j'ai l'idée d'écrire, écrire et encore écrire qui me travaille...

Le seul souci c'est que je ne sais pas quoi écrire !

Un livre, une chanson, un poème, un vers ?

Le livre c'est ptête un peu optimiste, la chanson il me manquera la mélodie, le poème j'en suis saoulé et le vers ne me contentera pas assez...

D'où mon idée d'écrire une nouvelle. Le seul souci c'est que je n'ai pas d'idée de base pour commencer cette histoire... j'ai des bouts d'idée mais pas d'idée principale. Tant pis je me lance !

Le lit de mort

Tout a commencé le soir où j'avais décidé de me lancer dans l'écriture. Je trainais une fois de plus tard dans la nuit devant mon ordinateur. Je faisais se succéder les lignes qui au fur et à mesure constituait une histoire. C'était l'histoire d'un jeune homme qui rencontrait une jeune demoiselle, celle-ci tout d'abord offusquée des manières du jeune homme, fut peu à peu conquise par les attitudes du jeune homme. Puis lorsque leur histoire commençait réellement à s'enflammer, le drame voulut que ma plume voulut les séparer. Ainsi le jeune homme commença à se faire une nouvelle vie sans la jeune fille. Et celle-ci fit de même, cependant chacun de leur côté ! Et le jeune homme pris une voie qui lui fit atteindre les sommets de la richesse, de la culture et de la réputation. Quant à la jeune fille, elle commença à déprimer d'être séparée de son jeune amant et de fil en aiguilles, elle prit les deuxièmes sans le fil et se drogua de plus en plus régulièrement. Jusqu'au jour où le destin décida de les réunir un soir où le jeune homme sortait de chez des amis hauts placés, trouva la jeune fille, sans la reconnaître, au détour d'une rue en train d'essayer de cambrioler la voiture du jeune homme. Elle était seule et c'est ce qui poussa le jeune homme à la recueillir, car il n'avait plus trouvé l'amour depuis leur séparation, plutôt qu'à appeler les services de police. Petit à petit, la jeune fille retrouvait une vie sociale adaptée ce qui lui permis de sortir des réseaux de drogue dans lesquels elle avait trainé durant des mois. Le jeune homme finit par apprécier la compagnie de cette demoiselle. L'homme et la femme (car il n'était plus de jeunes adolescents !) finirent par reformer un couple comme au bon vieux temps. Puis à l'aube d'un soir, lorsque le couple se coucha, les deux amants commencèrent à discuter de leur jeunesse et se rendit compte qui ils étaient réellement. Ils s'aimèrent toute la nuit et eurent beaucoup d'enfants.

Une fois que j'eus fini d'écrire cette histoire, je décida d'aller me coucher, il était sur le coup de 6h00 du matin et je commençais à tomber de sommeil. Je montais donc me coucher et m'endormis tout de suite. Je me réveilla quelques heures plus tard, par un énorme bruit. Le monde avait changé. Je m'étais endormi dans mon lit bien douillet, dans ma chambre en bazar et voila que je me réveillais dans un lit de camp dans une sorte de dortoir. Je crus d'abord que je rêvais. Ce bruit m'avait fait me lever d'un bond. Je sentis une odeur de chair carbonisée. Cette odeur me donna la nausée. Suite à quoi, je vainquis ma peur et décida de m'approcher de la sortie pour voir où je m'étais réveillé et d'où venait ces bruits que j'entendais en sourdine.En m'approchant de la porte, le son et l'odeur s'amplifiati. Lorsque j'eu enfin ouvert la porte, j'ai eu l'impression d'être dans un film. La scène qui se jouait devant moi était une scène digne des plus grands films de guerre hollywoodiens ! Tout y était : les coups de canons, les cris des hommes sur le point de mourir, l'odeur de la chair carbonisée qui se mélange à celle de la poudre, les moteurs d'avions en piqué, bref tout ! Contrairement à toute cette agitation autour de moi, je me sentais calme, reposé. Petit à petit, je sentis la peur grandir en moi, en entendant tout ces corps qui tombaient et tout ces cris inhumains. La plaine devant moi semblait tranquille. Aussi je décidais de m'y engager avec sérennité. Tout se déroula bien jusqu'à ce que je fis le quatre ou cinquième pas. Au moment où je posais mon pied dans l'herbe verte, je sentis une première douleur dans l'épaule, puis, une seconde plus tard, seconde qui me parut une éternité, une seconde balle m'atteignis. Et je m'écroulas dans l'herbe. Cette prairie qui semblait si belle, si pure, je venais de la souiller de mon sang, abattu par deux balles dans le dos. Une fois étendue dans l'herbe, je parvins à regarder derrière moi, la dernière image qui me resta fut celle d'un homme approchant, pistolet à la main. Et lorsqu'il fut à une dizaine de mètre de mon corps, ce fut la dernière image que je vis.

Voila. Je ne sais pas ce que ca vaut. N'hésitez pas à laisser vos impressions !

Ah oui sinon l'autre jour, j'ai écrit un article sur les jeunes et leur "pilier" que sont les libertés et l'argent. Le lendemain j'ai reçu "Les clés de l'actualité" en gros titre "L'argent on en fait quoi ?". Je rappelle que les clés de l'actualité est un hebdomadaire qui s'adresse aux jeunes particulièrement. J'suis fier d'avoir eu ce coup de flair. Enfin voilà, c'était ma ptite satisfaction de la journée de vendredi dernier.

Bye

Téqui !

Publié dans tequitoi

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article